30 octobre 2009
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Auteur : Paolo Giordano
Titre : la solitude des nombres premiers
Traduit de : l'italien par Nathalie Buaer
Éditeur :Seuil
Collection : Cadre vert
1ère édition : mars 2009
Nombre de pages : 328 pages
Lu : octobre 2009
Ce qu’en dit l’éditeur :
Les nombres premiers ne sont divisibles que par 1 et par eux-mêmes ; soupçonneux et solitaires, certains possèdent cependant un jumeau dont ils ne sont séparés que par un nombre pair. Maffia, jeune surdoué, passionné de mathématiques, en est persuadé : il compte parmi ces nombres, et Alice, dont il fait la connaissance au lycée, ne peut être que sa jumelle. Même passé douloureux, même solitude à la fois voulue et subie, même difficulté à réduire la distance qui les isole des autres. De l'adolescence à l'âge adulte, leurs existences ne cesseront de se croiser, de s'effleurer et de s'éloigner dans l'effort d'effacer les obstacles qui les séparent. Paolo Giordano scrute avec une troublante précision les sentiments de ses personnages qui peinent à grandir et à trouver leur place dans la vie. Ces adolescents à la fois violents et fragiles, durs et tendres, brillants et désespérés continueront longtemps à nous habiter.
Ce que j’en dis :
Récit à deux voix, La Solitude des nombreuses premiers, plaira aux adultes mais aussi aux ados car nos deux narrateurs sont des enfants, puis des adolescents, avant d'essayer d'entrer dans l'âge adulte. L'un et l'autre sont hors-normes, ils sont donc totalement isolés et, par instant, partagent leur solitude.
Sans être un grand roman, cette histoire se lit avec plaisir et l'auteur ne tombe pas dans le piège d'une fin trop simpliste.
Sans être un grand roman, cette histoire se lit avec plaisir et l'auteur ne tombe pas dans le piège d'une fin trop simpliste.