Auteur : Matthieu Blanchin & Christian Perrissin
Titre : Martha Jane Cannary T 2
Éditeur : Futuropolis
1ère édition : octobre 2009
Nombre de pages :128
Lu : Décembre 2009
Ce qu’en dit l’éditeur :
Après un premier tome primé à St Malo et à Angoulême, Blanchin et Perrissin reviennent avec la suite tant attendue de la biographie de celle que l'on appelait Calamity Jane. Nous avions laissé Martha Jane Canary au printemps de 1869, après l'attaque des indiens à Goose Creek, là où le capitaine Egon la baptisa «Calamity Jane». A la fin de l'hiver 1874, Martha Jane vit dans un ranch à la lisière des Badlands. Sa fille Janey, née en septembre 1873, a quelques semaines quand elles échouent ici. Martha Jane ne se montre pas vraiment une très bonne mère, laissant la femme du fermier s'occuper de sa fille tandis qu'elle s'occupe des travaux de la ferme. Elle finit par avouer qui est le père de l'enfant, le célèbre Wild Bill Hickok...
Ce que j’en dis :
Nous avions quitté Jane en 1869, nous la retrouvons un an plus tard dans un ranch avec une petite fille. La maternité n'a rien d'évident pour elle, elle se sent incapable d'élever un enfant, elle finira cependant par prendre conscience qu'elle aime cette petite fille et qu'elle peut s'en occuper. Pourtant, l'appel de la route et de l'aventure va la pousser vers de nouveaux cieux. Comme dans le premier tome, Blanchin et Perrissin nous offrent une reconstitution minutieuse de l'ouest américain de cette fin du XIXe siècle. S'appuyant sur les lettres de Calamity Jane à sa fille et sur d'autres écrits, notamment pour évoquer la figure de Custer et les guerres indiennes, ils nous offrent la reconstitution d'une époque loin des clichés du far-west.
Au cours de ce tome deux, Jane arrive à Deadwood, la ville de la série télé. La BD est assez proche de l'univers télévisuel, en moins noir peut-être...
Le générique de cette série :